Présentement "à cheval" entre les steppes d'Asie centrale et les pelouses du Vésinet, mais plus que jamais attachée à la défense de ce site, Martine Offant Rivasi s’est entretenue avec notrevesinet.com des choix stratégiques concernant la mise en place du PLU par Bernard Conte et son équipe.
Désignée, non sans mal, à la commission préparant l’établissement du PLU et de la ZPPAUP elle fait preuve d’une présence assidue à toutes ses réunions, ce qui n’est pas le cas de tous les conseillers résidant, se plait-elle à souligner.
Elle a contribué à la rédaction des commentaires suite à la publication de l’avant-projet soumis pour observation aux membres de cette commission, commentaires dont elle nous a confié l’esprit.
La question de l’évolution du Vésinet est souvent mal posée. Le Vésinet n’est pas une ville comme les autres. Il n’a pas à s’adapter, à participer aux changements qui affectent les villes avoisinantes, St Cloud, Rueil par exemple. Le Vésinet est ce qu’il est "grâce" aux contraintes d’une ville-parc. Le vésigondin n’est pas un client que la mairie doit satisfaire à vil prix, il doit payer pour financer la chance de vivre dans un environnement d’exception ; lequel environnement comprend, par exemple, les bordures anglaises, l’absence de goudron sur les voies piétonnes, l’absence de grillage de protection des lacs….
Cette dimension paysagère, qui est notre spécificité a un coût et c’est à la collectivité de l’assumer et non de mégoter !
Autre credo, le refus des dérogations pour bâtiments publics ou grands ensembles, dérogations que des élus souhaitent faire figurer dans le prochain règlement. Le désastre des bâtiments type Poste, l'ex Prisunic, le Théâtre pour ne prendre que quelques exemples ne doit pas pouvoir se reproduire. Les servitudes et obligations s’imposent aussi aux équipements publics et collectifs.
Retour à la question initiale : comment doit évoluer le Vésinet ? Ce n’est pas au Vésinet de s’adapter à son habitat, c’est aux habitants d’accepter le Vésinet, son charme désuet sous peine de banalisation….
Sur ces mots Mme Offant Rivasi a quitté l’avenue du Belloy pour la route de la soie...
Désignée, non sans mal, à la commission préparant l’établissement du PLU et de la ZPPAUP elle fait preuve d’une présence assidue à toutes ses réunions, ce qui n’est pas le cas de tous les conseillers résidant, se plait-elle à souligner.
Elle a contribué à la rédaction des commentaires suite à la publication de l’avant-projet soumis pour observation aux membres de cette commission, commentaires dont elle nous a confié l’esprit.
La question de l’évolution du Vésinet est souvent mal posée. Le Vésinet n’est pas une ville comme les autres. Il n’a pas à s’adapter, à participer aux changements qui affectent les villes avoisinantes, St Cloud, Rueil par exemple. Le Vésinet est ce qu’il est "grâce" aux contraintes d’une ville-parc. Le vésigondin n’est pas un client que la mairie doit satisfaire à vil prix, il doit payer pour financer la chance de vivre dans un environnement d’exception ; lequel environnement comprend, par exemple, les bordures anglaises, l’absence de goudron sur les voies piétonnes, l’absence de grillage de protection des lacs….
Cette dimension paysagère, qui est notre spécificité a un coût et c’est à la collectivité de l’assumer et non de mégoter !
Autre credo, le refus des dérogations pour bâtiments publics ou grands ensembles, dérogations que des élus souhaitent faire figurer dans le prochain règlement. Le désastre des bâtiments type Poste, l'ex Prisunic, le Théâtre pour ne prendre que quelques exemples ne doit pas pouvoir se reproduire. Les servitudes et obligations s’imposent aussi aux équipements publics et collectifs.
Retour à la question initiale : comment doit évoluer le Vésinet ? Ce n’est pas au Vésinet de s’adapter à son habitat, c’est aux habitants d’accepter le Vésinet, son charme désuet sous peine de banalisation….
Sur ces mots Mme Offant Rivasi a quitté l’avenue du Belloy pour la route de la soie...
