La commission d’appel d’offres est tenue au secret. Cette histoire, qui n’est pas datée, ne peut donc émaner de ses membres qui s’en seraient évidemment offusqués. Elle nous est proposée par un certain Ange Michel.
Un maire fraîchement débarqué dans une bourgade bourge décide de faire refaire son bureau. Il lance un appel d'offres on lui présente 3 devis : un autochtone, un portugais et un italien.
Le devis de l’autochtone s'élève à 30.000 €, celui du portugais à 60.000, et celui de l’italien à 90.000. Devant de telles différences, il convoque les trois entrepreneurs séparément, pour qu'ils détaillent leurs estimations !
- l'autochtone dit qu'il utilise de la peinture acrylique en deux couches pour 10.000 €, pour les brosses, équipements divers et assurances : 10.000 €, et les 10.000 € restants c'est la main d'œuvre.
- Le portugais justifie son devis en disant qu'il est meilleur peintre, qu'il utilise des peintures de polyuréthane en trois couches, dont le coût s'élève à 30.000 €. Les brosses et autres matériels, équipements et assurances coûtent 20.000, et les 10.000 restants c’est la main d'œuvre.
- l'italien est celui qui gagne finalement l'appel d'offres,
Le maire estime qu'il présente le devis le mieux justifié. L’italien lui a présenté comme suit : Monsieur le maire : 30.000 € pour vous, 30.000 € pour moi, et les 30.000 € restants, nous les donnons à l'autochtone pour faire travailler les artisans locaux.
Pour du donnant donnant c’était donné.
Toute ressemblance avec la vie politique locale est pure coïncidence...ouf !
Le devis de l’autochtone s'élève à 30.000 €, celui du portugais à 60.000, et celui de l’italien à 90.000. Devant de telles différences, il convoque les trois entrepreneurs séparément, pour qu'ils détaillent leurs estimations !
- l'autochtone dit qu'il utilise de la peinture acrylique en deux couches pour 10.000 €, pour les brosses, équipements divers et assurances : 10.000 €, et les 10.000 € restants c'est la main d'œuvre.
- Le portugais justifie son devis en disant qu'il est meilleur peintre, qu'il utilise des peintures de polyuréthane en trois couches, dont le coût s'élève à 30.000 €. Les brosses et autres matériels, équipements et assurances coûtent 20.000, et les 10.000 restants c’est la main d'œuvre.
- l'italien est celui qui gagne finalement l'appel d'offres,
Le maire estime qu'il présente le devis le mieux justifié. L’italien lui a présenté comme suit : Monsieur le maire : 30.000 € pour vous, 30.000 € pour moi, et les 30.000 € restants, nous les donnons à l'autochtone pour faire travailler les artisans locaux.
Pour du donnant donnant c’était donné.
Toute ressemblance avec la vie politique locale est pure coïncidence...ouf !
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